Voici une vidéo résumé de la première journée où 1500 pratiquants venus des quatre coins du monde se sont rassemblés à Paris.
De gauche à droite, Okamoto Yoko, C. Tissier, Ueshiba Moriteru Doshu, Asai Katsuaki, Suzuki T. (photo FFAAA)
Le Doshu Ueshiba Moriteru a pu démontrer son travail dans des conditions spéciales compte tenu du nombre de participants.
« Emporté par la foule… »
Remercions les organisateurs qui nous ont accueillis chaleureusement.
Nous avons revu avec plaisir Asai Katsuaki, venant de Düsseldorf, découvert en 1974 alors qu’il assistait Noro Masamichi. Dommage qu’il n’ait pas eu plus de temps d’enseignement.
Asai Katsuaki
De gauche à droite: Patrick, Xavier, JM, Den, Denis, Clara, Tam
« Tokyo Aya, vous ici! »
Doshu Ueshiba Moriteru et Tam
A l’arrière plan, Den en discussion avec C. Tissier
Derrière, caché, Olivier
Clara et Patrick avec le Doshu
JMT
Mon premier stage hors de notre école, et quelle première, avec la présence du Doshu Ueshiba Moriteru, Asai Katsuaki, Christian Tissier, et bien d’autres.
Au delà du prestige du nombre, ce qui m’a le plus touché, c’est l’union pendant ces deux jours avec 1500 personne tous tournés vers l’autre; à chaque nouveau partenaire une communion s’établissait avec un vrai échange. J’aurais rêvé pratiquer avec tout le monde. Tout n’était pas rose, comme dans la vie, il y eut du bon comme du mauvais, mais c’était une excellente occasion de mettre en pratique le lâché-prise (don de soi), remettre en question ma pratique avec d’autres formes et trouver les clefs qui me permettront d’accéder à un peu plus de compréhension de notre art.
Je suis impatient de participer à d’autres grandes ou petites fêtes de l’Aïkido afin que mon horizon s’ouvre sur l’univers.
Quel enthousiasme et quelle jeunesse dans ces paroles! L’Aïkido serait-il un art de jouvence?
JMT
Pratiquer dans un Dojo extérieur, c’est comme partir en vacances, c’est quand on rentre qu’on en mesure tous les bienfaits!
Tout à fait d’accord!
JMT
Et puis, quel bonheur et quelle émotion de se trouver en face du Maître qui nous saisit par le col du kimono en souriant à belles dents; impossible de me dégager tellement j’étais impressionné…
Il dit en riant: la tête, la tête! He oui, je n’étais pas du tout au centrum!
Cà viendra Maître Tamura.
Merci encore.