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Vive l’Aïkido, vivre l’Aïkido

Non l’Aïkido n’est pas mort !

Si nous avons gardé le silence depuis un certain temps (politique sanitaire, sociale, économique, crise psychologique et spirituelle), force est de constater que tous les pans de nos sociétés modernes sont touchés.
L’Aïkido bien sur n’y échappe pas y compris dans son pays d’origine.
Ce qui ne tue pas rend plus fort.
Toute épreuve a un aspect positif et permet un grand nettoyage de terrain, un grand débroussaillage et permet un renouveau des bonnes plantes.
Nous avions déjà évoqué pourquoi l’Aïkido se maintenait et se développait sur le plan physique en tant que technique de self-défense ce qui est une bonne chose vu le climat de violence inouïe du monde.

Cependant, nous ne pouvons nous satisfaire de cette évolution !

octobre 2020 (photo Den)

(photo Den)

Ceux qui nous suivent savent combien nous sommes attachés à un Aïkido subtil lié à l’énergie interne, seul moyen pour progresser et ne pas abandonner avec l’âge et les soucis de santé (plafond de verre).

Ceux qui nous ont compris savent combien nous sommes attachés à l’Aïkido comme Voie spirituelle (pléonasme étymologique). Développer une puissance aussi belle, aussi efficace soit-elle dans une vie relative et limitée, tient d’une forme de perversion sans espoir de développement métaphysique au delà de la personne (« per sonare »).

Notre silence ne signifiait pas abandon, fuite, retraite mais réflexion, empathie, méditation. Toute (auto)-critique constructrice ou pas est bienvenue car elle est un engrais à la croissance de la plante.

Etre disciple de la discipline Aïkido, c’est aimer passionnément cet Art, c’est aimer sincèrement l’autre dans ses qualités et ses défauts avec le désir de partager tel un liquide pour une mise à niveau.

La reprise est programmée le 18 septembre au dojo des Blaquières à 20h.

JMT

 
 

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